Au printemps de 1720, un bateau pestiféré entra en rade de Marseille.
Le dispositif permettant de protéger la ville contre le risque d’infestation était exemplaire, et pourtant la peste entra dans Marseille dont elle tua la moitié des habitants.
La responsabilité des échevins, intéressés à la vente des marchandises qu’il aurait fallu détruire, est accablante.
Ce sont pourtant ces mêmes échevins qui, au prix d’une abnégation et d’un dévouement qu’on peine à décrire, ont permis que Marseille ne soit pas rayée de la carte.
L’histoire de la peste de Marseille c’est celle de l’héroïsme, de la sainteté et le récit d’une rédemption.

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Infos de l'auteur

Marion Sigaut est bourguignonne. Née en 1950, elle a commencé à publier en 1989. Au début ses livres sont des récits autobiographiques (Le Petit Coco, Les Deux Cœurs du monde, du kibboutz à l’Intifada, Russes errants sans terre promise) qui racontent notamment sa rencontre avec Israéliens et Palestiniens. Puis, sa connaissance de la réalité israélo-palestinienne l’amène à publier quelques livres de commande auprès des éditions de l’Atelier. D’abord Libres femmes de Palestine et Mansour Kardosh, un juste à Nazareth, puis La Terre promise aux Sud-Africains. En 2001 elle reprend ses études d’Histoire, et commence à publier sur le sujet.

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